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Pourquoi un roman sur les migrants ?

Depuis déjà plusieurs années, la télévision, les quotidiens, les réseaux sociaux nous parlent de la crise des migrants qui débarquent sur les plages européennes. Ces hommes, ces femmes parfois avec leurs enfants fuient la guerre (Syrie) ou des pays où des dictatures réduisent les habitants l’esclavage. C’est le cas, entre autres, de l’Érythrée, petit État de la corne d’Afrique où Issayas Afewerki règne en despote depuis 1993.

À un certain moment de cette vague d’expatriés, les évadés d’Érythrée, puisqu’il est interdit de quitter le pays, représentaient le plus haut pourcentage des demandeurs d’asile. On évalue que tout près de 5000 personnes par année, en majorité des jeunes, fuient leur terre natale et un service militaire obligatoire, d’une durée indéterminée au cours duquel les filles sont violées et les garçons battus. C’est le plus grand nombre de migrants sur les routes après les Syriens. L’agence européenne Frontex a recensé plus 300 000 réfugiés érythréens partout dans le monde et 34 000 demandeurs d’asile en attente aux portes de l’Europe.

Écrire un roman permet d’aller au-delà de l’aspect « flash » des nouvelles.

Dans LES OUBLIÉS DE DIEU, je raconte l’odyssée de deux hommes et une femme à travers un Sahara hostile et leur détermination à atteindre la Méditerranée et ultimement l’Europe.

Dans mes romans, je ne juge pas, j’expose les faits le plus objectivement possible. Les histoires ont pour source des témoignages et des faits vécus.

Si vous lisez LES OUBLIÉS DE DIEU, vous comprendrez mieux ce qu’un journaliste tente de vous expliquer en 30 secondes ou une minute de journal télévisé…

Je vous invite à lire les commentaires et recensions sur ce site.

Allez, on se voit chez le libraire…







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